Archives de catégorie : Appel à la grève.

Après cette journée historique, la FSU exige des mesures sanitaires immédiates et l’ouverture très rapide de discussions sur les moyens et les salaires

Cette journée de grève dans l’éducation est historique avec 75% de grévistes dans les écoles dont la moitié sont ainsi restées fermées, 62% dans les collèges et lycées généraux et technologiques et plus de 50% dans les lycées professionnels.  

Les nombreuses manifestations sur le territoire ont rassemblé l’ensemble des personnels, les enseignant-es bien sûr mais également les AESH, les infirmières, les CPE, les agents administratifs, les personnels territoriaux des écoles, les psychologues scolaires, les AED, les personnels sociaux… et aussi les corps d’inspection et chefs d’établissements dans une mobilisation soutenue également par les parents d’élèves et les organisations de jeunesse.

Les exigences sur le sanitaire sont fortes et doivent être entendues mais elles débordent largement ce cadre. Les revendications sur l’urgence des moyens humains donc du recrutement et celles sur les salaires ont été largement portées dans les mobilisations.  C’est pourquoi la FSU exige du gouvernement l’ouverture au plus vite de négociations pour répondre aux revendications des personnels portées tout au long de cette journée de grève.

Le gouvernement doit ainsi répondre à l’urgence de protéger la santé de l’ensemble des personnels, des élèves et des familles, en appuyant ces décisions sur les connaissances scientifiques et sur le dialogue social, en particulier en équipant les personnels et les locaux (masques chirurgicaux et FFP2, autotests, capteurs de CO2…). Un collectif budgétaire doit être très vite adopté pour recruter les personnels nécessaires pour répondre notamment aux besoins de remplacement.

L’intersyndicale est reçue ce soir par le Premier Ministre, le Ministre de l’Education ainsi que le Ministre de la Santé, la FSU y portera les exigences des personnels et, en fonction des réponses apportées, étudiera les suites rapides d’actions nécessaires.

Le SNUEP-FSU appelle les personnels des lycées professionnels à la grève jeudi 13 janvier

Le ministère n’a tiré aucune leçon des différentes vagues et porte aujourd’hui la lourde responsabilité de la désorganisation alarmante dans les lycées professionnels, SEP, SEGPA et ÉREA.

Alors que depuis décembre tous les experts s’accordent à alerter sur la forte contagion du nouveau variant, il a fallu attendre cette semaine pour que le ministre daigne accorder des dotations de masques chirurgicaux – qui n’arriveront sûrement qu’après le pic annoncé de cette nouvelle vague. Il refuse toujours d’acheminer des masques FFP2 réclamés par les organisations syndicales pour les personnels fragiles ou qui le souhaitent. Il persiste à dénoncer les collectivités territoriales sur le manque de matériels, comme les capteurs de CO2 ou la sécurisation des ateliers, plutôt que de prendre la main et dédier des moyens pour protéger les personnels, ce qui relève de sa compétence.

La scolarité de nos élèves est mise à mal elle aussi avec des consignes d’isolement souvent incompréhensibles et le refus du ministère de rédiger un texte réglementaire pour réduire le nombre de semaines obligatoires de PFMP pour l’obtention des diplômes – à l’instar de ce qui existait en 2021.

Cette absence de volonté de protéger les personnels et les élèves implique que nos lycées professionnels, SEP, SEGPA et ÉREA se vident au fur et à mesure des jours. Les vies scolaires sont fortement touchées générant des difficultés colossales de gestion des établissements et d’internats. Les personnels d’entretien, pourtant essentiels et en première ligne depuis le début de la pandémie, ne sont pas mieux protégés. Les enseignant·es isolé·es ne sont pas remplacé·es notre ministre ayant choisi de ne mettre aucun moyen sur les remplacements de courte durée. Il continue d’ailleurs à détruire des postes d’enseignant·es et instaure une atmosphère de mépris et de défiance.

Presque aucun·e candidat·e ne postule sur les contrats courts proposés en ce moment : les conditions de travail, l’absence de protection et les salaires très bas sont des éléments qui mettent forcément à mal l’attractivité de nos métiers.

Le SNUEP-FSU exige des moyens de protection rigoureux pour les élèves et les personnels, des budgets supplémentaires pour sécuriser les classes et les ateliers, des moyens de prévention dont des autotests, un texte réglementaire pour les élèves qui ne peuvent effectuer leur PFMP et un collectif budgétaire pour engager immédiatement des pré-recrutements de PLP.

Le SNUEP-FSU avait anticipé ce marasme scolaire en déposant un préavis de grève pour soutenir toutes les actions locales qui se sont déroulées depuis la rentrée, qui s’amplifient et qui vont encore s’élargir dans la semaine à venir. 

Dans le contexte actuel, le SNUEP-FSU appelle maintenant les personnels des lycées professionnels, SEP, SEGPA et ÉREA à se mettre en grève ensemble le jeudi 13 janvier.

Retrouvez le tract intersyndical pour l’appel au 13/01

Retrouvez l’appel du SNUEP-FSU pour le 13/01.

Retrouvez la déclaration intersyndicale au ministre sur les conditions sanitaires du 06/01

Le 5 octobre, mobilisé-es pour nos salaires, nos emplois et nos conditions de travail et d’études !

Parcours parisien : Bd St Martin – Bd St Denis – Bd de Bonne Nouvelle – Bd Poissonnière – Bd Montmartre – tout début du Bd Haussmann

Départ 14 h à République. Ordre : CGT / Jeunes / FSU / FO / Solidaires.

Retrouver le tract ici.

Les organisations syndicales CGT- FO – FSU – Solidaires – FIDL – MNL – UNEF – UNL  réunies le 30 août appellent à la mobilisation de l’ensemble des travailleur-ses du secteur privé et public, et la jeunesse, le mardi 5 octobre 2021.

Elles rappellent qu’elles ont mis en garde le gouvernement, au début de l’été, face à ses projets de régression sociale. Elles ont, à cette occasion, formulé des solutions économiques et sociales pour sortir de la crise sanitaire.

Elles s’opposent à ce que la situation sanitaire soit utilisée par le gouvernement et le patronat pour accélérer la remise en cause des droits et des acquis des salarié-es et des jeunes. L’élargissement et l’accélération indispensables de la vaccination demandent de renforcer l’accès à la santé, les moyens de l’hôpital public et de la médecine du travail. Cela nécessite de convaincre et de rassurer, et non de sanctionner les salarié-es.

En cette rentrée, l’emploi est une des préoccupations essentielles des jeunes et du monde du travail. La précarité est en forte hausse, et malgré une opposition unanime, la mise en  œuvre de la  réforme de l’assurance chômage reste d’actualité. Le retour de la réforme des retraites que nous avons combattue et empêchée revient à l’ordre du jour. Gouvernement et patronat veulent imposer de nouveaux reculs sur les retraites. Le chômage partiel a provoqué la plupart du temps des baisses de rémunération importantes.

Trop de salarié.es, notamment les travailleurs-ses particulièrement exposé-es et dits de « 2ème ligne », maintenu.e.s à de bas salaires ne voient aujourd’hui aucune perspective d’amélioration.

Les agent.e.s de la fonction publique attendent toujours et depuis des années des mesures salariales à la hauteur de la perte de leur pouvoir d’achat. Les jeunes ont vu l’investissement dans les aides directes baisser ces dernières années. Le dernier recul en date étant la suppression du repas à 1 euro pour toutes et tous, dont nos organisations réclament le rétablissement.

C’est pourquoi elles exigent :

  • L’augmentation des salaires,
  • l’abandon définitif des contre-réformes des retraites et de l’assurance chômage,
  • un vrai travail avec un vrai salaire pour toutes et tous et l’égalité professionnelle femmes/hommes ;
  • la conditionnalité des aides publiques selon des normes sociales et environnementales permettant de préserver et de créer des emplois ;
  • l’arrêt des licenciements et la fin des dérogations au Code du travail et garanties collectives.
  • un coup d’arrêt à la précarisation de l’emploi et à la précarité des jeunes en formation et une réforme ambitieuse des bourses ;
  • la fin des fermetures de services, des suppressions d’emplois, du démantèlement et des privatisations dans les services publics et la fonction publique et le renforcement de leurs moyens ;
  • Le rétablissement de tous les droits et libertés pour la jeunesse comme pour le monde du travail.

Les organisations CGT- FO – FSU – Solidaires – FIDL – MNL – UNEF – UNL affirment l’urgence d’augmenter le SMIC et les grilles de classifications, le point d’indice de la Fonction Publique, les pensions, les minima sociaux et les bourses d’études.

Elles  appellent les femmes et les hommes de toutes les professions, les jeunes, les retraité.es à se mobiliser, le 5 octobre, par la grève et les manifestations, pour obtenir de meilleurs salaires, pour leurs emplois et leurs droits et une meilleure protection sociale. D’ores et déjà, elles décident de se revoir à l’issue de cette mobilisation.

MOBILISATION DU 23 SEPTEMBRE

Pour un plan d’urgence dans l’éducation, pour les postes, les salaires, l’amélioration des conditions de travail et l’abrogation des réformes Blanquer !
Appel à se mobiliser dès la rentrée, à se mettre en grève le 23 septembre et à préparer lamobilisation interprofessionnelle du 5 octobre.
Toutes et tous en grève le jeudi 23 septembre !
A l’appel de l’intersyndicale éducation de la Région parisienne réunissant laCGT Educ’action, FNEC FP-FO, FSU Ile-de-France et SUD éducation
Manifestation à Paris Départ à 13h30 à JUSSIEU (Métro Jussieu).

Retrouvez ci-après :

le 26 janvier, toutes et tous en greve pour nos salaires et nos conditions de travail

Une revalorisation fantôme, 1883 suppressions de postes dans le Second degré à la rentrée 2021, des réformes qui malmènent nos métiers, une gestion chaotique de la crise sanitaire, la Fonction publique en danger… cela suffit !

=> Pour nos salaires, pour nos conditions de travail, pour les postes, exigeons la revalorisation des personnels et des moyens pour l’Éducation !

https://zimbra.free.fr/service/home/~/26janvier_plandurgence.jpg?auth=co&loc=fr&id=386041&part=2


Pour regarder l’appel intersyndical :

Vous trouverez en outre en PJ le tract intersyndical d’appel au 26/01 ainsi que le tract spécial voie professionnelle.

Rassemblements le matin dans les départements :
Yvelines(78) : Rassemblements devant la DSDEN des Yvelines à Guyancourt et la mairie de Mantes-la-Ville à 9h30
Essonne(91) Rassemblement devant la DSDEN de l’Essonne à Evry à 9h30
Hautes de seine(92) : Rassemblement devant la préfecture du 92 à Nanterre à 10h
Val d’oise(95) : AG intersyndicale à la maison des syndicats de Cergy à 9h

Rassemblements de l’après-midi :
Manifestation à Paris : départ à 13h de Luxembourg en direction du Ministère de l’Éducation nationale.
Ordre du cortège : FSU /FO/CGT/CORTEGE ESR/SNALC/SUD/SNCL
INSTALLATION FSU : queue de manif à partir place E Rostand (sans empiéter sur la place pour permettre la circulation Rues Gay Lussac/Soufflot/Médicis) – tête de manif Bd St Michel (avant Rue A comte)

Pour nos salaires, pour les postes, pour nos conditions de travail: toutes et tous en grève le 26 janvier

Tout nous conduit à l’exigence de plus d’éducation pour tous les jeunes dans un contexte où les inégalités continuent à se creuser et où les réformes menées par le ministre les aggravent. Les moyens consacrés à l’éducation ne sont pas à la hauteur des exigences, la situation sanitaire en est un révélateur flagrant. Afin de baisser les effectifs par classe à court et moyen terme et de prendre en compte l’état de fatigue des personnels, épuisés par des années de dégradation des conditions de travail, il faut en urgence engager les recrutements nécessaires, notamment en recourant aux listes complémentaires.

Lire l’appel à la grève FP du 26/01 complet ici.

Continuer la lecture de Pour nos salaires, pour les postes, pour nos conditions de travail: toutes et tous en grève le 26 janvier

AS DE RECONNAISSANCE DE LA PÉNIBILITÉ SANS SERVICE ACTIF ET POUR UNE VÉRITABLE CESSATION PROGRESSIVE D’ACTIVITÉ !

Malhonnête comme souvent, le Gouvernement tente de faire croire qu’en introduisant le C2P et la retraite progressive dans la Fonction publique, il permettra la reconnaissance de la pénibilité et améliorera les conditions de la fin de carrière.Rien n’est plus faux !En effet, depuis longtemps, la catégorie active permet aux fonctionnaires exerçant des missions dangereuses et pénibles de bénéficier de départs anticipés de 5 ans ou de 10 ans.La catégorie active ne serait, au mieux, maintenue qu’aux fonctionnaires exerçant des missions dangereuses.

Le communiqué FP complet ici.

Continuer la lecture de AS DE RECONNAISSANCE DE LA PÉNIBILITÉ SANS SERVICE ACTIF ET POUR UNE VÉRITABLE CESSATION PROGRESSIVE D’ACTIVITÉ !

Communiqué Fonction publique.

Les organisations syndicales de la fonction publique se félicitent une nouvelle fois du succès de la journée de grève et manifestations du 24 janvier, après une semaine marquée par de nombreuses actions comme le rassemblement devant Bercy de quelques 500 agent-es venu-es déposer leurs outils de travail.

Elles rappellent leur rejet plein et entier de cette réforme des retraites,destructrice des solidarités et synonyme de paupérisation pour l’ensemble de la population et en particulier les agent-es de la fonction publique.

Le communiqué intersyndical FP ici.

Continuer la lecture de Communiqué Fonction publique.

APPEL A LA GREVE du 24 janvier

Le ministre de l’Éducation nationale a reçu les organisations syndicales pour leur présenter le cadre de ce que le ministère appelle la concertation avec les organisations syndicales sur la réforme des retraites. Si la FSU s’y est rendue, c’est parce que la revalorisation des enseignant-es, mais aussi celle de tout-es les personnels de l’éducation nationale et de tout-es les personnels de la Fonction publique, fait partie de ses priorités et parce qu’elle dissocie clairement cette question de la création d’un régime universel de retraite. Elle ne discute pas d’une compensation aux effets d’une réforme qu’elle rejette mais de la reconnaissance à sa juste valeur de l’engagement des personnels, et cela sans contreparties.

Elle exige, sur cette base, l’ouverture de discussions globales dans l’ensemble de la Fonction publique : agents administratifs, personnels sociaux et de santé de l’Éducation nationale et des autres ministères, agents territoriaux, hospitaliers, etc, n’ont-ils pas, elles et eux aussi, des salaires très souvent insuffisants, des missions qui se sont alourdies sans aucune reconnaissance salariale ?

Plus que jamais, la mobilisation doit donc continuer dans le cadre interprofessionnel, pour que la revalorisation soit immédiate, ambitieuse et concerne l’ensemble des fonctionnaires, pour que le projet de réforme des retraites soit retiré.

Aujourd’hui, le ministre annonce 500 millions d’euros supplémentaires pour augmenter les rémunérations des enseignant-es en 2021 qui permettraient d’augmenter les collègues en début de carrière de 70 à 90 euros nets.

Devant le manque d’attractivité du métier et la faiblesse des salaires en début de carrière (1,2 SMIC), ce serait un premier pas, largement insuffisant. Et qui demande à être confirmé pour l’ensemble d’une profession qui souffre de la comparaison avec les fonctionnaires de statut équivalent ou avec les enseignants des autres pays de l’OCDE.

Si l’article 1 du projet de loi parle bien d’une revalorisation salariale permettant de garantir aux enseignants un même niveau de retraite que ceux des corps équivalents de la Fonction publique, le gouvernement étalerait cet engagement sur plus de 15 ans pour y arriver dans le cadre inédit d’une loi de programmation. Quel crédit accorder à un gouvernement qui a déjà reporté d’une année la mise en œuvre du protocole PPCR (Parcours Professionnels, Carrières et Rémunérations), qui continue à geler le point d’indice des fonctionnaires, contribuant ainsi à poursuivre la dégradation de leur pouvoir d’achat, qui détruit les statuts, qui réduit les capacités des organisations syndicales à défendre collectivement les droits des personnels ?

Interrogé sur la nature des mesures qui seraient prises, le ministre entretient le flou en évoquant l’indemnitaire, l’indiciaire mais également « toute une série d’autres choses ». Ce qui a de quoi nous interroger et nous inquiéter. La question des personnels concernés par la revalorisation et ses modalités reste floue : seulement les plus jeunes ? Seulement celles et ceux qui acceptent des missions supplémentaires ?

Le ministre a redonné la mesure de l’investissement prévu ; le budget de l’Éducation nationale serait augmenté de 10 milliards d’euros … en 2037. Gardons les pieds sur terre : il n’y intègre pas les effets de l’inflation, ce qui réduit énormément l’impact de l’investissement annoncé.

Que le gouvernement parle des retraites ou des salaires, il entretient le flou et l’imprécision. Il dégrade les pensions de toutes les salarié-es, conditionne des augmentations de salaires à des contreparties.

Pour la FSU ce n’est pas donnant / donnant, mais toutes et tous gagnant-es.

C’est pourquoi, le 24 janvier elle appelle les personnels à être massivement en grève et dans les manifestations.

La manifestation parisienne partira à 11h de République pour se rendre à proximité de l’Elysée (Concorde) où se tiendra le conseil des Ministres qui examinera le projet de loi que nous combattons depuis le 5 décembre.
La FSU sera en tête donc nous avons une responsabilité particulière.

La FSU vous permet de vous rendre à la mobilisation :

sur les Yvelines :

Départs en bus :
• La queue les Yvelines : Départ 8h30 devant le Lycée de La queue lez Yvelines
• Plaisir : Départ 09h00 – devant la gare de Plaisir-Les Clayes
• Rambouillet  : Départ 08h30 devant le Lycée Bascan.
• Trappes : départ 09h00 sur le parking de la Mairie de Trappes.
• Versailles : départ 9h30 place de la loi
Réservez votre place en écrivant àRéservez votre place ici (cliquez) !

• Mantes – Poissy  : départ Mantes à 9h00 sur le parking du lycée Saint-Exupéry. Arrêt à Poissy à 09h30, sortie A 13, à hauteur de l’hôtel Novotel. Arrêt (possible  : le demander) à la sortie des Mureaux et à l’entrée de l’A13 direction Paris. pour réserver écrire à reservationbusfsu@orange.fr

• Sartrouville : départ collectif de la Gare de Sartrouville et de Houilles (horaires à préciser).

Pour l’essonne(91) :

Départ de la gare d’Evry-Courcouronnes à 9h15.
Pour nous permettre d’organiser les départs de bus dans des bonnes conditions, il est impératif de vous inscrire par mail sur notre adresse snes91@versailles.snes.edu en indiquant bien le lieu de départ du bus que vous souhaitez prendre, ainsi que votre nom, prénom et numéro de téléphone.

Pour le val d’Oise (95) :

Des bus seront affrétés par la FSU 95 pour se rendre à la manifestation du vendredi 24 janvier :
• au départ de Cergy : Départ à 09h00 devant la maison des Syndicats de Cergy
• au départ d’Argenteuil, : Départ à 09h00 rendez-vous devant l’espace Mandela
• au départ de Sarcelles : Départ à 09h00 au centre sportif Nelson Mandela .


Pour nous permettre d’organiser les départs de bus dans des bonnes conditions, il est impératif de vous inscrire par mail sur notre adresse snes95@versailles.snes.edu en indiquant bien le lieu de départ du bus que vous souhaitez prendre, ainsi que votre nom, prénom et numéro de téléphone. Une confirmation d’inscription vous sera envoyée.

Pour les syndiqués, la FSU prendra en charge le coût du transport. Pour les non-syndiqués à la FSU et ses syndicats une participation de 5€ sera demandée (somme à régler sur place)